Le microbiote : siège de la santé et de l’immunité !

17 avril 2024

Microbiote : nous ne sommes qu’à moitié humains selon la science !

100 000 milliards de bactéries : c’est ce que notre intestin, à lui seul, contient ! Si l’on rajoute les micro-organismes qui prolifèrent sur notre peau, la bouche, les voies respiratoire ou encore l’appareil uro-génital, alors ce nombre devient colossal. En somme, notre corps abrite autant de bactéries, virus et champignons qu’il ne contient de cellules ! Tout ce petit monde constitue une flore non-pathogène, avec lequel notre organisme coexiste pacifiquement. Bonne nouvelle : le microbiote rend même des services indispensables à notre santé.

En effet, les bactéries commensales empêchent, par leur seule présence, l'implantation de micro-organismes responsables de maladies. Elles sont également capables de produire des composés qui éliminent les espèces bactériennes pathogènes. Par leur rôle bouclier, ces bonnes bactéries éduquent donc notre immunité et nous protègent contre les risques d’infection. Pour résumer, sans flore intestinale, c’est toute notre digestion et notre système immunitaire qui s’effondrent. Et sans flore cutanée, c’est la voie ouverte aux affections multiples.

Que se passe-t-il en cas de dysbiose?

Un stress prolongé, un traitement antibiotique récurrent ou une alimentation déséquilibrée appauvrissent la diversité bactérienne de notre flore. À terme, ce dérèglement déclenche des pathologies inflammatoires. Dans le tube digestif, la dysbiose peut se traduire par des douleurs abdominales, des pathologies digestives, une prise de poids, mais aussi des allergies. Sur la peau, d’autres facteurs sont susceptibles de détériorer le microbiote et de le rendre moins efficace : le tabagisme, les UV, les polluants mais aussi les solutions hydroalcooliques dont nous faisons un large usage depuis la crise sanitaire.

Toutes ces agressions, à la longue, affaiblissent la flore bactérienne cutanée et provoque des rougeurs, irritations, boutons et tâches. Des maladies cutanées peuvent s’installer, telles que l’acné, la dermite atopique et le psoriasis.

Adopter les bons réflexes

Alors comment ne pas détruire nos bonnes bactéries ? Côté digestif, il est primordial de soigner notre alimentation, en privilégiant notamment les aliments lactofermentés mais aussi les fruits et légumes riches en fibres. Et pour garder notre barrière cutanée intègre, mieux vaut adopter au quotidien la bonne routine :

· On évite de décaper l’épiderme par des douches trop fréquentes,

· On n’abuse pas des gommages exfoliants,

· On privilégie des savons à PH neutre, saponifiés à froid,

· On bannit les cosmétiques à base d’alcool,

· On fuit les produits enrichis en huiles minérales, silicones et conservateurs de synthèse,

· On mise sur des cosmétiques de qualité biologique, aux ingrédients les plus naturels possibles.

Le miel, un rémède en or

On le savait anti-inflammatoire, anti-microbien et anti-oxydant. Le miel, nectar de vie connu depuis le Paléolithique, peut aussi être considéré comme un pré-biotique. Il est en effet capable de stimuler la croissance des bactéries bénéfiques de l’intestin et donc, de prendre soin de notre microbiote. On comprend dès lors son intérêt en cosmétologie : en plus d’être nourrissant et cicatrisant, le miel agit sur la peau en renforçant son film hydrolipidique. Moins perméable aux pathogènes extérieurs, l’épiderme remplit alors mieux sa fonction de barrière protectrice. Ce n’est donc pas un hasard si Sainbioz a souhaité inclure cette ressource inestimable dans sa gamme de cosmétiques naturels.

Sainbioz, des cosmétiques aux probiotiquess naturels

Dans sa crème fine Éclat Oxygène, Sainbioz a sélectionné des principes actifs naturels issus de la flore alpine. Mais pas seulement ! Pour nourrir le microbiote cutané et faire rayonner la peau du visage, Sainbioz a ajouté un autre trésor de la nature : du miel ! Mais pas n’importe lequel. Celui qui entre dans nos formulations est un miel fermenté d’abeilles noires. Ce miel précieux est issu d’une production locale des vallées suisses où l’espèce rustique d’abeilles noires est protégée. La fermentation est obtenue par l’ajout d’une souche de Zymomonas mobilis, bactérie connue pour ses capacités de fermentation alcoolique. En résulte un élixir étonnant, capable de restaurer le microbiote cutané. Malgré des lavages agressifs de la peau, les études démontrent une nette amélioration de l’aspect général de l’épiderme et de l’homogénéité du teint. Mieux protégé contre les pathogènes extérieurs, le visage retrouve éclat, confort et souplesse.

Le point de vue de Nelly Orand, conseillère en santé naturelle

« Prise avec régularité sur le long terme, la tisane offre un moyen efficace de restaurer tout en douceur un microbiote en souffrance. Le genévrier, le laurier noble, l’origan, le thym et le giroflier démontrent des propriétés antiseptiques et antifongiques, en plus de rééquilibrer la flore intestinale. Du côté de la gemmothérapie, le bourgeon de noyer agit sur le microbiote qu’il stimule et renforce. C’est aussi un grand draineur des muqueuses et de la peau : utile en cas de pathologies cutanées ! Selon votre cas particulier, faites-vous conseiller».

sainbioz, la beauté naturelle et engagée

Avec l’appui de producteurs et laboratoire locaux, Sainbioz à Annecy crée des cosmétiques éco-responsables, de qualité biologique. Nos formulations privilégient les actifs végétaux et ressources naturelles en provenance de l’arc alpin.

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